Le corps de DIEU en sa nudité et sa Majesté

Méditation sur le Saint Suaire

Auteur(s) : Daniel-Ange
Département : Sans departement
Collection : Hors collection
24.00 

« Si je ne mets pas la main dans son côté, je ne crois pas ».

Alors, Thomas, bouleversé : « Mon Seigneur et mon Dieu ! ».

Le linceul : il y a deux mille ans ? Non, aujourd’hui ! Seulement

le côté ? Non, le corps tout entier ! Uniquement Thomas ?

Non, nous tous ! Jésus à portée de mains, de regard, de coeur…

Nous restons saisis. Il aura fallu à Daniel Ange des années de

recherches et de méditations pour, à coup sûr, soigner notre

incrédulité, avec nous tomber à genoux, nous relever non plus

saisis, mais guéris. Avec lui, nous parcourons une histoire

stupéfiante liant l’Orient à l’Occident, nous découvrons les

conclusions de la science, nous confrontons chaque fibre au

récit des Évangiles.

Ainsi, à coup sûr, l’auteur peut-il poser notre main, notre

raison et notre foi sur chaque plaie du Corps crucifié et

glorifié. Dès lors, contemplant La Face douloureuse et

lumineuse, je le sais désormais : toute la passion du monde

est provisoire, toute souffrance temporaire… Pas d’autre

réponse aux questionnements de l’humanité. Pas d’autre

solution aux maux de notre temps. Pas d’autre signe donné

à cette génération évacuant Dieu mais ne pouvant plus se

passer de Lui, sous peine de cesser d’exister. Le signe par

excellence du Fils de l’Homme donné pendant ces trentetrois

heures où Il se repose des trente-trois années de son

labeur, des trente-trois heures années de son ultime combat.

Je vois ce que je fais de Lui, par mon péché, et je contemple

ce qu’Il fera de moi, par Sa Sainteté.

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